Notre taxi préféré nous attend dès 10:00.

Une heure de route pour le village Bidayuh « Annah Raïs ».

Le soleil est au rendez-vous et brûle à travers le pare-brise. La vieille Proton n’est pas équipée d’une climatisation performante et l’habitacle demeure assez chaud.


Le village se situe à environ 55 kilomètres au sud de Kuching, dans la forêt équatoriale, à quelques kilomètres de la frontière indonésienne de Kalimantan.

Le droit d’entrée est de 10 ringgit personne et un petit verre de kuak (alcool de riz) nous est offert. JJ en boit même deux !

Le goût ressemble à une bonne eau-de-vie moins alcoolisée.


Les Bidayuh ont construit leur village sur pilotis et les espaces sont pour la plupart couverts de bambous, les maisons et les Longhouses étant en bois dur tel que le tek, de Borneo bien sûr.

La sueur dégouline sur tout notre corps. Il fait soif et nous buvons un Nescafé froid en can.

Le village est relativement désert pendant ces heures chaudes. De plus, comme partout dans le monde, les jeunes s’expatrient vers les grandes villes.


Rentrés à l’hôtel, douches et en-cas.

Une dernière promenade sur le Kuching Waterfront où nous réservons une table dans notre restaurant habituel et nous partons à la recherche d’un bar à cocktails pour la Saint-Valentin.

Beaucoup de commerces sont encore fermés après ce Nouvel An chinois et nous parvenons au « The Royal Chamber », un bel établissement dans le plus ancien quartier chinois de Kuching.

Yolande et Margaret boivent un Sarawak Calamansi à base de kuak, mais un peu trop doux, et JJ 2 whiskies ( Macallan 12 ans et Japonais Nikka from the barrel), excellents…


Il est l’heure de se restaurer !

Arrivés au James Brooke Café, surprise ! La table que nous avions réservée est occupée par un jeune couple asiatique. Pas content JJ…

Notre dîner est composé d’un Mix-grill pour mesdames et un Green curry pour JJ.

Ce soir, pas de pluie et le retour se fera à pieds.


7,3 kms…