En ce dernier dimanche malaisien, il est décidé d’aller à la plage sur le détroit de Malacca.

GRAB nous emmène à Pantai Pengkalan Balak, à 40 kms, soit une heure de route.

Sur place, c’est le désert ! Pas d’ombre, pas d’installations, etc… Et comment revenir loin de tout ?

Le chauffeur confirme qu’il faudra un long moment pour récupérer un taxi…


Aussi, nous repartons pour Pantai Klebang, plus près de Malacca.

Mais, si ce n’est plus le désert (nombreux étals, ombrés sous les arbres et touristes…), la plage en elle-même est nulle avec une mer retirée très loin et située dans une sorte bras fermé.


Nous retournons à l’hôtel et ce sera piscine…!

Mais, les trois piscines au même niveau 9 ont une eau froide car elles ne voient quasiment jamais le soleil en raison de l’ombre projetée par les trois buildings pour la principale avec, en sus, la salle de gym suspendue au-dessus, les deux autres étant couvertes avec côtés ouverts sous les bâtiments…

Ainsi, transats seulement pour Yolande et Margaret, JJ ayant toujours des problèmes dorsaux…


Le ciel s’est ennuagé et il règne une chaleur moite. Lors de notre promenade quotidienne désormais, nous sommes vite en sueur.

Un arrêt dans l’un des nombreux bars longeant la Melaka River est le bienvenu.


Dès que nous abordons Dutch Place et Jonker Street et son marché, c’est la foule…

Après avoir traîné dans le quartier, au milieu des stands, des triporteurs, des badauds et des motos vintage (Triumph), nous nous précipitons, doucement, vers la « rue de la soif  » où nous nous régalons d’un poisson grillé local avec légumes et frites.


5,8 kms de marche…