" Il vaut mieux vivre un jour comme un tigre que mille ans comme un mouton. "

Proverbe Tibétain


C’est le bordel au breakfast .

Ils préparent des sandwiches dont nous ne voulons pas. Nous optons pour des toasts.


En taxi, nous sommes à nouveau à la station de bus. Le nôtre n’arrivera qu’à 8:00 au lieu de 7:30.


Le temps est brumeux et la journée risque d’être longue. Au fur et à mesure des kilomètres, le trafic se densifie.

La conduite est toujours aussi aléatoire et nous nous retrouvons nez à nez avec un camion en doublant...!

A proximité de Katmandou, la route est défoncée sur une bonne longueur ; ça cahote et ça tangue...

Et surprise, le bus nous laisse à l’entrée de la ville devant une station de taxis qui ne manquent de nous harceler. Compte tenu de la grandeur des taxis népalais, il nous en faut deux. Et cela ne nous arrange pas ! C’est plus cher.

Après moultes polémiques, nous partons vers Bhaktapur à une vingtaine de kilomètres.

La circulation est intense et la pollution et la poussière recouvrent l’agglomération.


L’entrée dans la ville classée à l’Unesco est payante (1.500 Rs par personne) et nous nous en acquittons avant de rejoindre la Peacock Guesthouse 2. Nous sommes reçus par une jeune femme du genre « maîtresse j’ordonne ».

L’arrivée dans l’annexe est glaciale. Nous sommes les seuls clients.


Margaret (qui tousse depuis 2 ou 3 jours) et Daniel ne peuvent chauffer leur chambre avec le radiant électrique et ne peuvent prendre de douches. (A noter que le lit est équipé d’une couverture chauffante.)


Nous ne pourrons rester 4 nuits dans ces conditions. Nous décidons de demander l’annulation et entamons les pourparlers avec « Marie j’ordonne ».

En fait, le boss accepte l’annulation partielle en facturant 2 nuits.

Nous réservons alors à nouveau l’ hôtel Friends Home de Katmandou.


Dîner de momos fusion cheese and spinach au restaurant de la guesthouse.

1,5 km de marche