"Le temps est un grand maître. Le malheur, c’est qu’il tue ses élèves."

Bouddha


Après le cérémonial habituel du petit déjeuner, dès 9:00 notre chauffeur de taxi rasséréné de sa mésaventure d’hier nous prend en charge pour nous conduire à Chandragiri Hills, sur la route de Pokhara.


Nous sommes samedi et c’est jour de repos pour une majorité de népalais. La circulation est plus fluide dans le smog du matin auquel s’ajoute la poussière.

Une heure plus tard, le fourgon Suzuki peine dans la côte abrupte menant à l’entrée du site.

Il y a déjà beaucoup de monde et nous achetons nos billets avec 25% seniors !


Quelques minutes plus tard, nous nous installons dans une cabine du « cable car » qui monte à 2.520 m.

Alors que la vallée est enfouie dans la brume, un panorama unique nous fait face, de la chaîne des Annapurna (8.091 m) à celle de l’Everest (8.848 m), en passant par le Manaslu ( 8.156 m) soit une distance d’environ 250 km !

Le soleil irradie l’ensemble et du temple émane un chant religieux hindou entrecoupé de tintements de cloche.


Ce site est très moderne est ouvert depuis seulement décembre 2016. Le télécabine peut transporter 1.000 personnes par heure dans ses 38 gondoles sur 2,5 km en 9 minutes.


Nous rentrons à l’hôtel en traversant l’atmosphère polluée et poussiéreuse de la route chaotique.


Petite balade dans le quartier de Thamel bondé de badauds et touristes désœuvrés à la recherche de tout et de rien...

La marche s’avère désagréable et difficile compte tenu de la bousculade et des 2 roues pétaradant et klaxonnant qui nous rasent.

Quelques emplettes et nous revenons à la case départ.


JJ en profite pour peaufiner l’arrivée future en Nouvelle-Zélande.

Pendant l’apéro, nous avons une pensée pour la chandeleur, les crêpes et le Porto...!


Dîner succulent de chicken tikka masala notamment,


4,6 km de marche.