" Quand on regarde attentivement un cochon d’Inde, on remarque, premièrement que ce n’est pas un cochon, deuxièmement qu’il n’est pas d’Inde, et qu’en définitive seul le « d » est authentique."

François Cavanna


Daniel se demande s’il va nous accompagner ce matin.Après le breakfast, ça va mieux et, donc, direction Amber Fort.


En passant, nous nous arrêtons brièvement pour admirer la façade du « palais des vents», relié au City Palace, qui, à son point le plus haut, ne mesure que 2 à 3 mètres de large.

Il permettait aux femmes du harem du maharadja d’observer la rue sans être vues.


Petit arrêt à la pharmacie pour acheter des trucs à sucer!


L’arrivée sur Amber Fort est grandiose. Le fort

jaune se découpe sur le ciel bleu azur et le mur d’enceinte long de 15 km qui entoure l’ancien village d’ Amber (ciel en hindi) se détache sur les monts environnants.

Le ballet des éléphants parés de motifs traditionnels et chargés de touristes paresseux donne tout son faste à la rampe d’accès.

Nous montons à pied (courageux et sveltes!).

La visite durera deux heures au milieu d’une foule immense et bigarrée à majorité indienne.

Sans aucun doute, le joyau en est le palais et son hall des audiences tout en marbre, tapissé de verre, de miroirs, de.verres colorés dont le plafond est magnifiquement ouvragé.


Sur le retour, nous effectuons un stop pour l’incontournable palais flottant sur le lac, aujourd’hui abandonné.


Puis, sur les conseils de Raj, nous faisons un détour vers une entreprise gouvernementale. Il y a profusion de sculptures, mais le must est la fabrication de tapis en laine de dromadaire, de cachemire ou de soie.

Nous passons en revue les étapes d’élaboration du produit, très intéressant et rien à voir avec ceux du Maghreb. Plus raffinés, plus beaux et peu chers.

Bien sûr, nous avons droit à une présentation de tapis., puis les vêtements du cru qui n’ont pas manqué d’intéresser qui vous savez !

Conséquence, achats de tenues féminines...


Nous nous dirigeons ensuite vers Gaitor , nécropole des maharadjas de Jaipur, toujours en marbre et admirablement sculptés.


Tea time et achat d’une bouteille d’ Old Monk!


Pour terminer la journée, un tour de vielle ville et notamment du bazar qui porte bien son nom dans un brouhaha indescriptible et assourdissant.


Jaipur, capitale du Rajasthan, est une agglomération de 3.700.000 habitants qui a été créée au XVIIIème siècle seulement.


Achat de bananes et oranges pour la route demain.


Ce soir, rhum apéro pour éradiquer le mal...

et dîner dans la chambre.


5,9 km et encore plus d’escaliers qu’hier (20 étages.