"Remarquons au passage que si l'on dit " les animaux " au pluriel, on dit " l'homme " au singulier. Parce que l'homme est unique. De même, nous dirons que les animaux font des crottes, alors que l'homme sème la merde."

Pierre Desproges


Il pleut ce matin et la température est fraîche (12 degrés). Aussi, tout va doucement en attendant l’éclaircie qui arrive aux alentours de 11:00. Nous retournons au supermarket New World afin de compléter les provisions.


Ensuite, nous partons à la recherche des ours de mer. Pour cela, nous reprenons la route vers Picton jusqu’à ce que nous apercevions des taches noires se prélassant sur les rochers. Nous sommes en présence des otaries à fourrure de Nouvelle-Zélande. Leur nom signifie en grec « petite oreille ». L’otarie se distingue des phoques par leur capacité à se déplacer sur terre grâce à leur postérieur.

lI y en a des centaines dormant, nageant, jouant (il y a de nombreux petits), mais aussi grognant, rugissant et bêlant (les trois cris de l’otarie).

Le vent est assez fort et relativement froid, mais le spectacle réchauffe l’atmosphère.


Nous quittons un peu à regret le site pour s’aventurer au sud de Kaikoura où nous attendent des oiseaux tels que huîtriers, fous, mouettes et d’autres inconnus.

La plage est jonchée de bois flottés, d’algues séchées, d’ossements et de quelques coquillages. Mais, aucun détritus ne pollue cet environnement.


Retour vers le village pour le plein d’essence (sans plomb 91) et l’achat d’un en-cas pour le creux de 17:00 que nous mangeons dès notre arrivée au lodge (savoie et tablette de chocolat noir 72% ).


Une partie de solo avec bières et cranberry avant la douche.


Ce soir, repas de poisson (blue cod, autrement dit morue bleue), fricassée de légumes, et toujours après le Sauvignon...


2,9 km de marche.