"Qui mieux que le chemin connaît le voyageur? "

Proverbe Tibétain


Comme prévu, réveil à 5:30.


Malgré l’heure matinale, le petit déjeuner est identique aux autres matins. Rare...

Le taxi, en revanche, est en retard. Nous quittons définitivement l’hôtel vers 7:10.

Mais, très vite, on se rend compte que le chauffeur ne sait pas où trouver notre bus prévu à 7:30 ! Après quelques hésitations et informations, il nous laisse au bon endroit.


C’est parti pour environ 200 km et 7:00 de route : belle moyenne en perspective que l’on comprend rapidement compte tenu de l’état de la route et du trafic (bus et camions principalement).

Les croisements et doublements sont souvent justes. Mais ça passe ! Quand on sait qu’il n’y a pas de code de la route au Népal, on peut s’inquiéter...

Le car est assez confortable malgré un entretien très approximatif. Boissons et repas sont compris dans le tarif.

Il est doté de toilettes (sales et puantes) dans lesquelles JJ reste enfermé jusqu’à ce que Daniel le délivre. Nous sommes arrêtés et tout le monde est descendu !


La route sinue entre les montagnes, contreforts de l’Himalaya. Le paysage est agréable et il fait beau.


Nous parvenons à destination vers 15:00.

Après quelques palabres, deux mini taxis nous déposent à l’hôtel OYO 221 Lakeside dans un quartier apparemment tranquille.


Deuxième ville népalaise, Pokhara est surtout la plus proche des Annapurna malgré sa faible altitude d’environ 850 mètres et possède un très grand lac que nous longeons dans la nuit au milieu des innombrables hôtels, restaurants, boutiques de trekkers, de souvenirs, etc...

C’est un peu comme une ville en bord de mer.

Mais, il y a peu de touristes et tout est désespérément vide.


Nous dînons au Thakali Kitchen qui ne nous laissera pas un grand souvenir alors que le Routard est dithyrambique.

Mais, est-ce le bon ?


Retour à l’hôtel après 4,2 km de marche et 11 étages.