"Toute la misère du monde n'est rien à côté d'un adieu."

Daniel Balavoine


C’est l’ultime journée chez les Kiwis.

Il fait doux ce matin, 18 degrés.


La location est proche de l’aéroport international de Christchurch et nous remettons la Kia Sportage chez Hertz vers 9:00 après 2.456 km effectués sur l’île du Sud.


Puis, c’est le train-train habituel des aéroports.

Le vol est prévu à 11:00 mais il est « estimated » à 11:30.


Des turbulences à basse altitude au décollage et à l’atterrissage, et nous revoilà à Auckland.

Le super Shuttle nous attend et nous transporte à notre dernier hébergement, Auckland Airport Kiwi Motel.

Nous héritons d’un studio par couple, vaste avec terrasse. Sympa.


Il n’y a rien à faire dans cette zone si ce n’est visiter le cimetière !

Nous n’avons rien manger depuis ce matin et nous faisons la fête au paquet de chips restant.

Pour tuer le temps, une partie de solo.


Les préparatifs étant faits, nous allons dîner d’un agneau de 8 heures avec riz et salade, suivi d’un dessert (ananas frit et glaces), le tout précédé d’un dernier Sauvignon.


C’est avec un petit pincement au cœur que nous quittons ce merveilleux pays, sans doute l’un des plus beaux au monde avec sa diversité de paysages, mais aussi l’un des plus avancés écologiquement malgré sa vision ultra moderne et son niveau de vie très élevé.


Ce petit état est précurseur dans beaucoup de domaines et pourrait se vanter en donnant des leçons à une grande majorité des pays, y compris dans le monde occidental.


L’accueil naturellement gentil, l’hospitalité, le sourire permanent des gens, leur côté très relax, leur tolérance vont sûrement nous manquer dans un premier temps, et ce quelque soit leur origine (Britannique, maorie ou asiatique).


De plus, ils ont réussi là où beaucoup échouent en respectant les Maoris et leur culture (traditions, langue, croyances, noms des lieux, double langage affiché partout, etc...), contrairement aux américains par exemple qui ne respectent toujours pas les « natives », indiens en les groupant dans des réserves.

Les Maoris qui sont les « natives » de Nouvelle-Zélande, venus des îles polynésiennes, sont respectés et entièrement intégrés même s’il existe des communautés et des villages maoris. La mixité est également fréquente.


En résumé, il fait bon vivre ici et, si ce n’était aux antipodes, ce serait avec plaisir que nous y vivrions !


Thank you so much New Zealand, for all, and have a good Life... Good Luck ...


2,9 km de marche.